Une start-up ambitieuse au cœur de Paris

En 2014, j’ai découvert Caprezo, une société par actions simplifiée (SAS) spécialisée dans le conseil en systèmes et logiciels informatiques. Basée au 130 rue de Lourmel, dans le 15ᵉ arrondissement de Paris, cette entreprise promettait d’accompagner les entreprises dans leurs projets technologiques.

Des débuts prometteurs

Caprezo a été immatriculée le 20 mars 2014, avec un capital social de 10 000 €. Son activité principale était axée sur les prestations de services, le conseil et la recherche en matière d’ingénierie et de solutions informatiques . Le président initial était Claude-Yves Robin.

Une évolution marquée par des défis

Au fil des années, Caprezo a connu plusieurs changements, notamment au niveau de sa direction. En 2015, Rodolphe La Grua et Talamanca de Carini a été nommé président, succédant à Claude-Yves Robin . Malgré ces ajustements, l’entreprise a dû faire face à des défis financiers importants.

La liquidation judiciaire

Le 1er décembre 2017, le tribunal de commerce de Paris a prononcé la liquidation judiciaire simplifiée de Caprezo. La clôture de la procédure pour insuffisance d’actif a été prononcée le 16 décembre 2020 . Cette décision a marqué la fin de l’aventure pour cette start-up prometteuse.

Réflexion personnelle

En tant qu’observateur du monde entrepreneurial, je trouve que l’histoire de Caprezo illustre les défis auxquels sont confrontées les entreprises technologiques. Malgré une vision claire et des ambitions légitimes, les obstacles financiers et les mutations du marché peuvent mettre à rude épreuve la pérennité d’une société.

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Caprezo L’histoire de Caprezo, bien que marquée par des difficultés, offre des enseignements précieux sur la résilience et l’adaptabilité nécessaires dans le secteur technologique. Elle rappelle l’importance d’une gestion proactive et d’une veille constante pour anticiper les évolutions du marché.

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